Organització Europea de Radioaficionats

EA3GKP – Ricardo- ha instal·lat en una petita casa que tenen els seus pares al sud de Tenerife, a 915 m d’altitud, un receptor de descàrregues elèctriques per a la xarxa Blitzortung.org. Aquesta xarxa és un projecte col·laboratiu internacional que permet detectar i localitzar descàrregues elèctriques atmosfèriques a tot el món.

Descripció del sistema

El receptor detecta les ones electromagnètiques de baixa freqüència VLF‑LF (3‑300 kHz) produïdes per un llamp i les envia a un servidor central que triangula la posició del llamp utilitzant múltiples receptors.

Per a la recepció d’aquestes senyals s’utilitza la detecció del camp magnètic (H) i del camp elèctric (E). En Ricardo ha instal·lat el receptor disponible en aquests moments (BLUE basic PCB 22.2) que només utilitza 2 antenes ortogonals de ferrita per al camp magnètic (H).

Just després de les antenes hi ha un preamplificador basat en amplificadors diferencials connectats a prop d’aquests sensors de camp magnètic. La seva funció és anul·lar el soroll que prové de les antenes i amplificar les senyals amb una guany de l’ordre de 10 dB. Els senyals s’envien a la tarja d’adquisició i abans passen per un filtre passabanda, el qual està format per un filtre passa‑baix passiu i un filtre passa‑alt actiu. Aquest filtratge permet reduir el soroll de baixa freqüència (50 Hz), eliminar interferències per sobre de 300 kHz així com protegir el convertidor A/D.

Un cop amplificada i filtrada, el senyal passa al convertidor A/D del microcontrolador del sistema, amb freqüències de mostreig superiors a 500 kHz, cosa que dona una resolució suficient per preservar la forma d’ona.

El sistema de localització es basa en TOA (Time of Arrival, temps d’arribada) que determina la posició d’una descàrrega elèctrica mesurant l’instant exacte en què la senyal electromagnètica del llamp arriba a diverses estacions receptores sincronitzades amb GNSS.

Perquè la triangulació funcioni, cada estació ha de registrar l’arribada del pols amb precisió de micro-segons i per a això s’utilitza un mòdul u‑box MAX‑M10S que rep múltiples GNSS (GPS, GLONASS, Galileo i BeiDou) i genera un pols extremadament precís. Aquesta marca temporal s’adjunta al paquet de dades enviat al servidor central.

A continuació, es mostren algunes fotos de la tarjad’adquisició, la font d’alimentació que disposa d’un filtre EMI juntament amb un dispositiu per poder telecomandar l’alimentació i l’antena, instal·lada al sostre de la casa just sota la teulada.

Mapa en temps real: https://map.blitzortung.org/

Font i crèdits:  EA3GKP – Ricardo,  imatge de zoutedrop

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Das ehrenamtliche Team für unsere Videotelefonie- und Ausbildungsplattform TREFF.DARC.DE kündigt für Montag, den 22.12.2025 Wartungsarbeiten an. Ab 10 Uhr wird die gesamte Plattform für voraussichtlich vier Stunden nicht zur Verfügung stehen.

Grund ist ein großes Update der verwendeten Software BigBlueButton. Wir erwarten dadurch nicht nur ein leistungsfähigeres Verhalten der Software, sondern die Nutzenden werden einige kleine Änderungen in der Verwendung feststellen. Ein guter Anhaltspunkt ist die überarbeitete Standard-Präsentation, die beim Betreten eines Raums angezeigt wird. Es lohnt sich, die Funktionen gemeinsam in einer kleinen Gruppe kennenzulernen.

Über den Stand der Aktualisierung informieren wir an dieser Stelle.

Am 18.12.2025 wurde die Version 5.3.33.149 an alle Remotestationen von der IT des DARC verteilt. Das Update auf dem Nutzer-PC wird automatisch beim Start des TRX-Client angeboten und sollte zwingend ausgeführt werden.

Im einzelnen gibt es zwei wesentlichen  Verbesserungen in der neuen Version:


 

1. Logbuch: Korrektur: ADIF-Datei der exportierten Logbuchdaten enthält nur noch Datenfelder mit realem Inhalt.
   
    
2. Erweiterung: Eingabe von CTCSS-Werten unabhängig von Speicherdefinitionen möglich. Ggf. notwendig bei Relaisstellenbetrieb. Einfach das Button für den Mode "FM" Doppel klicken und den gewünschten CTCSS Wert auswählen. Siehe dazu auch TRX Client Manual 5.2.2.9 Seite 21.

L’astronaute de la NASA Mike Fincke travaille à l’intérieur du sas NanoRacks Bishop et installe du matériel de démonstration technologique qui pourrait permettre des techniques de capture de débris orbitaux ou de futures mines spatiales sur de petits astéroïdes.
NASA

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Le 19 Décembre 2025

L’environnement orbital de la Terre est devenu dangereusement fragile. Une nouvelle étude dirigée par Sarah Thiele de l’Université de Princeton avertit que, si les systèmes d’évitement de collision des satellites étaient mis hors service par une tempête solaire majeure, une collision catastrophique en orbite terrestre basse pourrait se produire en seulement 2,8 jours.

Les chercheurs appellent ce compte à rebours inquiétant l’horloge CRASH(acronyme de Collision Realization And Significant Harm). Elle mesure le temps moyen nécessaire pour qu’une collision générant des débris se produisesi les satellites perdaient soudainement leur conscience de la situation et cessaient toute manœuvre.

En 2018, avant que les mégaconstellations actuelles ne remplissent le ciel, l’horloge CRASH indiquait 121 jours. Aujourd’hui, elle est tombée à moins de trois jours.

Le trafic orbital atteint désormais des niveaux sans précédent, en particulier dans les couches denses de satellites Starlink situées autour de 550 km d’altitude. L’étude montre que des rapprochements dangereux entre objets spatiaux se produisent toutes les 20 secondes en orbite terrestre basse. Selon le dernier rapport semestriel de SpaceX, les satellites Starlink à eux seuls ont effectué 144 404 manœuvres d’évitement entre le 1er décembre 2024 et le 31 mai 2025.

Même dans les meilleures conditions, éviter les collisions exige des manœuvres constantes et extrêmement précises. Mais que se passerait-il si les opérateurs de satellites ne savaient plus exactement où se trouvent leurs engins ?

Ce scénario n’est pas hypothétique. Lors de la supertempête géomagnétique des 10-11 mai 2024, plus de 5 000 satellites ont effectué des manœuvres d’urgence pour maintenir leur orbite (article complet). La plupart étaient des Starlink. Les incertitudes de position ont atteint plusieurs kilomètres — exactement le type de perturbation envisagé par l’horloge CRASH. Heureusement, la tempête s’est dissipée avant qu’une collision majeure ne survienne.

Les opérateurs de satellites redoutent depuis longtemps un scénario apocalyptique appelé le syndrome de Kessler : une réaction en chaîne incontrôlable de destructions de satellites déclenchée par un seul impact générateur de débris. Cet article affirme que nous ne sommes peut-être pas encore dans une cascade de Kessler, mais que nous opérons dans des conditions où une seule tempête solaire sévère ou une défaillance logicielle pourrait suffire à lancer l’horloge CRASH.

Profitez de votre Starlink — tant que c’est encore possible.

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Le 18/12/2025

• MISE À JOUR DES NOUVELLES

Aujourd’hui marque trois mois depuis l’arrivée des trois premiers membres de l’équipe sur l’Île Sable. La journée sera consacrée à la vérification de l’antenne six mètres, des sections de mât nécessaires, des haubans et du matériel associé. Mars n’est pas la « saison du six mètres », mais nous ferons de notre mieux pour être sur la bande et établir autant de contacts que possible. Lee, WW2DX, est un opérateur très expérimenté sur six mètres, nous sommes donc entre de bonnes mains.

PS : Des mises à jour régulières apparaissent également sur la page QRZ de CY0S.

• 17 DÉCEMBRE

Aujourd’hui, nous avons inspecté tout le matériel de l’expédition et réussi à réduire son poids. Cela a été réalisé en retirant les éléments superflus tels que les câbles coaxiaux, les outils, les sections de mât de l’antenne, etc. Notre poids total est maintenant de 1240 kg. La limite de poids pour deux vols sur le Britten-Norman Islander est de 1280 kg. L’équipe CY0S est très soulagée d’avoir atteint notre objectif de poids !

• 12 DÉCEMBRE

Aujourd’hui, toutes les antennes ont été placées dans des sacs de ski individuels avec les tendeurs en bois, les tendeurs en corde pré-coupée et les pièces supplémentaires. Les 13 et 14 décembre, tout le matériel de la DXpedition sera pesé afin de calculer la charge de l’avion Britten-Norman Islander qui transportera l’équipe vers l’Île Sable.

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